Carlors Alcaraz: «J’espère qu’elle sera aussi bonne que 2023»

Carlors Alcaraz: «J’espère qu’elle sera aussi bonne que 2023»

13 janvier 2024 Non Par SoTennis

De retour à l’Open d’Australie, Carlos Alcaraz effectuera son entrée en lice mardi face au Français Richard Gasquet. Samedi, lors de la journée des médias, l’Espagnol a évoqué ses ambitions pour les jours et les mois à venir.

L’an dernier, vous étiez blessé et vous aviez manqué l’Open d’Australie. Est-ce spécial de revenir ici ?

Cette semaine a été spéciale. J’ai disputé deux matches exhibitions, c’était une bonne préparation. J’ai vraiment passé une super semaine.

Pouvez-vous nous expliquer votre décision de ne disputer aucun tournoi avant l’Open d’Australie ?

Nous terminons la saison tellement tard… J’ai préféré prendre des vacances pour reposer mon corps et mon esprit. Je préférais, surtout, effectuer une très bonne présaison. On en a discuté avec mon équipe et on a estimé que j’avais besoin de quatre ou cinq semaines pour cette présaison, afin de me préparer au mieux pour le premier Grand Chelem de l’année. Je n’avais pas le temps nécessaire pour disputer un tournoi avant Melbourne, c’est pourquoi on a préféré venir ici directement. Je suis quelqu’un qui n’a pas besoin de jouer tant de matches que ça avant les grands tournois. Bien sûr, ça aide, mais je me sens capable de bien figurer ici.

Lors du Masters de Turin, vous disiez être très enthousiaste en vue de la saison 2024. Aujourd’hui, qu’en est-il ?

Cette saison va être très excitante. J’espère qu’elle sera aussi bonne que 2023. Je me suis très bien préparé et maintenant, si je veux progresser, je dois améliorer les choses que je n’ai pas bien faites l’année dernière. Sur le court et en dehors du court. Tout le monde peut toujours s’améliorer, je ne suis pas parfait.

Votre entraîneur Juan Carlos Ferrero n’est pas avec vous ici à Melbourne (en raison d’une opération à un genou). Est-ce que cette absence est une difficulté à surmonter ?

C’est dur de ne pas l’avoir à mes côtés. Il est quasiment en permanence avec moi sur le circuit, l’année dernière il n’a raté qu’un ou deux tournois. Ça va être difficile d’appréhender un tournoi comme ça sans lui, mais Samuel Lopez est avec moi et c’est aussi un grand entraîneur. Il a été le coach de Juan Carlos, donc j’ai confiance en lui. Je peux beaucoup apprendre de lui.

Propos recueillis par E-A